Le diplômé du stage recevra de l’État une allocation mensuelle de 128,76€. Cela représente 65% du niveau de subsistance minimum d’une personne physique adulte (niveau de subsistance minimum). Ce niveau minimum de subsistance est toujours déterminé sur 1. Juillet. L’allocation est accordée par l’Office du travail, des affaires sociales et de la famille pour couvrir les dépenses personnelles nécessaires liées à l’exercice de la profession de diplômé. Il n’est pas nécessaire de prouver les dépenses à l’Office, cependant, si le diplômé fait la navette, une indemnité de déplacement suffira.
Les stagiaires diplômés doivent se rappeler qu’ils ne peuvent effectuer leur stage que chez un employeur qui leur donnera les compétences et l’expérience correspondant à leurs qualifications. Par exemple, si vous avez un apprentissage de coiffeur/barbier, nous pouvons faire l’apprentissage dans le secteur de la coiffure, ou si vous avez un diplôme en économie, vous pouvez faire l’apprentissage dans le domaine économique, dans une entreprise ou dans un bureau. L’employeur signe un contrat avec l’Office du travail, des affaires sociales et de la famille. Un candidat à un stage de fin d’études doit être inscrit à l’agence pour l’emploi depuis au moins un mois en tant que demandeur d’emploi.
Les candidats aux stages d’études supérieures doivent remplir les conditions suivantes :
- Doit être âgé de moins de 26 ans
- Il ne doit pas s’être écoulé plus de 2 ans depuis l’achèvement de la forme d’étude à temps plein.
- Avant son inscription au registre des demandeurs d’emploi, le demandeur d’emploi n’avait pas d’emploi régulièrement rémunéré.
Chaque candidat a droit à un stage de troisième cycle d’une durée de trois à six mois.
Le candidat est tenu de travailler 20 heures par semaine. S’il travaille moins, son allocation forfaitaire est réduite.